Chaque agissement me fait penser à Alpha Condé. Je pense a cet homme qui malgré ses dérives, avait un respect pour les anciens hommes de tous les régimes. Je me sens désormais seul dans mes pensées sangsues sans lesbienne idée de me rafraîchir la mémoire. Ma mémoire était courte en pensant que cette Guinée après ce 5 septembre va connaître une autre épilogue. Que j’ai enfin cru a la montée eidétique et bal populaire de la Guinée. Cette fourberie qui me donne des problèmes conspiratoires et qui donnent le dégoût aux apôtres de la descendance. Ce basque qui laisse le Guinéen sur la nonchalance. Une pluie de déstabilisateur et de randonneur, virvolteurs et balthasar qui se promènent sur le chemin de la terre guinéenne. Cette atmosphère caduque et rabougrie qui me donne raison en me disant que quand le soleil manque a l’homme, c’est que la loi lui prend sur la tête aux badois traditionnels. Ce qui fait boursouflé les velours des vampires endémiques des temps de cruautés et de plaisances sans fécondité et pour asservir le destin livide de la Guinée. Pour une simple récupération, Sadiba vient avec des chargeurs.
De l’expansionniste aux cuves infamantes aux dragueurs moins bénédictines. Alpha Condé le fait de regretter en ce moment est pour une leçon caractéristique et assouplissant pour que je vois mon destin écroué. Du pléonasme en redondance, l’humiliation a la guinéenne s’impose sans becqué sur le patrimoine qui reste la demeure d’un être humain. À belles dents, le peuple de Guinée se sent orphelin sans père ni mère et n’a aucune défense. La Guinée arénacée. C’est un deleatur pour moi de dire que la rhétorique est bonne. Nous sommes dans le n’en avoir rien à carrer pour roussir et cramer l’indépendance du peuple. Ce marasme bagatelle qui joue sur la génération guinéenne et qui s’impose en fanfaron comme si on vivait chez l’imprimeur de l’histoire. C’est assez utopique et moins cardinal de pensé que la Guinée est ce paradis que tout guinéen doit prendre comme un monde éternel. La politique botaniquée en ethnie, des propos malveillants, des histoires fautives et incessantes, la terre d’une Guinée qui se voit détournée par d’autres. Cette humiliation nationale tant sur l’international aussi. La poudrière de démagogie et de sorcellerie moins pléthorique. Oh ! Cette Guinée est inexplicable. Son histoire est aussi incrédule que sa misère. Triste ! Des vagissements et gémissements de cette nature inappropriée comme le Gondwana deux du monde. C’est aussi ça ce pays !
Peuple de Guinée courage et bon vent !
Avec le CNRD c’est a beau mentir qui vient de loin !
Aly Badara Akila, journaliste panafricain !